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Sp1o. Neop meal est un chariot de distribution des repas motorisé assurant les différentes prestations alimentaires de la motorisation permet d'améliorer le confort de travail du personnel. Cette technologie maitrisée et éprouvée optimise les coûts de non-productivité. Neop meal est garant de la sécurité alimentaire. Il respecte les températures et conserve les qualités organoleptiques des préparations culinaires grâce à un maintien en température par air pulsé. Il s'adapte à tout type d'organisation service en chambre, en salle à manger ou en unité de vie techniques 2 compartiments de 8 niveaux au pas de 80 mm2 cuves réalisées en panneaux sandwichs inox polyuréthane-inox A310 ép. 20 mmDimensions utiles du plan de travail L. 790 x P. 810 mmHauteur plan de travail 967 mm. Dimensions hors tout L. 885 x P. 860 x H. 1070 mmSurface au sol 0,760 m². Poids 153kg
Contexte La qualité ressentie par les résidents tient compte de trois paramètres les denrées, l’environnement proche et l’environnement plus large. Les denrées correspondent aux couleurs, odeurs, aspect, ordonnancement dans l’assiette et présentation des aliments servis. L’environnement proche correspond à la présentation des différentes composantes du repas entrée, plat principal, produits laitiers, desserts, à la vaisselle, aux couverts, à la verrerie, aux serviettes, aux plateaux. L’environnement plus large intègre l’espace de restauration, le mobilier, l’éclairage ; l’ambiance sonore, l’attitude, présentation et professionnalisme des personnels de service ainsi que la possibilité de prendre le repas avec les personnes accompagnantes. Une fois ces trois composants définis, il s’agit d’identifier la part accordée à ces derniers par les résidents en termes de qualité ressentie intuitive ou non. Quelle clé de répartition en pourcentage ? La qualité ressentie est composée de 20 % pour les denrées. 40 % pour l’environnement proche. 40 % pour l’environnement plus large. Soit 20 % pour les denrées et 80 % pour l’environnement et par-là même les pratiques hôtelières. Face à ce constat, l’importance d’assurer la qualité de la distribution prend toute sa valeur. Il s’agit d’une démarche primordiale dans l’accompagnement des personnes âgées.
Le container/conteneur isotherme neutre, chauffant ou réfrigéré alimentaire permet de conserver à température, des repas pendant plusieurs heures avant une distribution. Le container/conteneur isotherme neutre, chauffant ou réfrigéré permet de stocker les repas chauds et froids. Nos containers ne sont pas munis de roulettes mais sont proposés avec un socle rouleur séparé. Poids 17Kg. 12 niveaux de glissières au pas de 36 mm. Dimensions intérieures l330 x P545 x H455. Volume intérieur 0,206 m3.
Axe fort de l’année 2022, l’alimentation des résidents fait l’objet d’un accompagnement des professionnels par Monsieur Luc CHEVALLIER, Directeur de l’organisme de formation Réactiv. Cette mission débutée en 2021 se poursuit cette année avec un focus sur le service du repas dans les cinq services que compte l’établissement. Monsieur CHEVALLIER a suivi le déroulé du petit-déjeuner et du déjeuner dans chaque service. Il a pu relever l’inadaptation des chariots de distribution pour le service dans les chambres. Cinq chariots en attente de livraison ont déjà été commandés dans le cadre de la subvention des investissements du quotidien via la CNSA. Des progrès ont été réalisés et doivent se poursuivre notamment pour favoriser la prise du petit-déjeuner en salle à manger. Un point a également été effectué sur l’expérimentation en liaison mixte. Monsieur CHEVALLIER reviendra au mois de juin pour mesurer les évolutions et former les référents alimentation de chaque service. Partager la publication "Accompagnement prendre soin à travers le repas »"
Pour que manger reste toujours un plaisir Il s'agit d'abord et avant tout de chercher à faire plaisir, développer l'appétit couleurs des assiettes, petites envies, petites surprises.... Mais il faut aussi s'atteler à la lutte contre la dénutrition qui touche une majorité des résidents et qui reste un enjeu insuffisamment pris en compte dans les politiques publiques. Les sources sont nombreuses, qu’elles soient officielles HAS sur la dénutrition protéino-énergétique, ARS Centre, avis de l’AFFSA 2009, PNSS, programme national nutrition santé — PNNS, rapport IGAS sur le PNSS 2006 – 2010 ou médiatiques Que Choisir . Les réponses sont culturelles, pluridiciplinaires et colloque sur les approches non-médicamenteuses a donné la parole à de nombreux experts du PNSS et plusieurs équipes de terrain qui ont mis en oeuvre des stratégies interdisciplinaires. Comme aime à l’expliquer Sabine Soubielle de Humanitude Restauration, l’enjeu est que ​“manger reste toujours un plaisir”, jusqu’au bout de la guides et repères ont été publiés. La Direction générale de l’alimentation, en concertation avec la Direction générale de la cohésion sociale, a mis en ligne des guides sur l’alimentation en institution, pour les portages de repas à domicile. Agevillage et Annie de Vivie ont participé au Guide pratique Alimentation et maladie d’Alzheimer. des équipes de terrain à l’Ehpad Notre-Dame de Puyraveau ont publié un guide sur les ​“bouchées enrichies”. La dénutrition a diminué de manière significative après la mise en oeuver de ces bouchées, à disposition 24h sur 24, 7 jours sur 7. Nutrition les désirs, attentes et besoins des résidents Autour des repas en Ehpad, les visites, audits, enquêtes Que Choisir, témoignages… revèlent tous ces attentes non exhaustives !. Respecter, créer, renforcer, maintenir la capacité d’expression des résidents exprimer ses goûts, dégoûts, j’aime ou je n’aime pas pourquoi ?, leur santé et leur autonomie lutte contre la dénutrition, la deshydratation, prestations à hautes valeurs nutritionnelles y compris pour les textures mixées, les régimes.Structurer les moments ​“restauration” comme dans la vie accueillir ses invités, fêter son anniversaire, améliorer les dimanches…Maintenir et développer les repères ma place, ma serviette, mon choix, les horaires affichés l’heure, c’est l’heure !, un calendrier d’évènements traditionnels fêtes calendaires…, les menus de saison…Permettre un cadre intimiste tout en bénéficiant des échanges sociaux voisins de chambre, de table, vie du personnel… claustras, tables de deux, quatre personnes, ateliers animations… Ces grands axes provoquent une réflexion autour de la participation des résidents au quotidien de cette fonction restauration, si vitale. A partir d’un diagnostic sur les points d’amélioration, les évolutions ne peuvent se mettre en oeuvre que par paliers, pour respecter la prise en main par les résidents et leur famille des différents points d’amélioration possible et une mise en oeuvre progressive et donc visible !L’enjeu est de se centrer sur les capacités, les compétences, les envies, les forces des résidents et non pas uniquement sur les risques de dénutrition, qu’il ne s’agira pas d’occulter, car elle concerne près d’un résident sur deux ! Les outils d’évaluation de la dénutrition dont le Mini Nutritional Assessment MNA pour évaluer l’état nutritionnel Evaluer l'état nutritionnel des personnes âgées, à domicile, en établissement est indispensable. Près d'un résident sur deux est dénutri en Ehpad avec les impacts délétères sur la santé de la personne, sur la qualité de vie, sur la qualité du prendre soin, sur la motivation des professionnels... Les grilles d’évaluation La pesée fait partie du MNA régulièrement à domicile et systématiquement au cabinet, en indice de masse corporelle fait partie du MNA facteur prédictif facilement exploitable. IMC = poids divisé par taille²Le score d’auto-évaluation Broker facile à faire remplir par les patients, par exemple en salle d’attente ou en questionnant les personnes accompagnatrices à domicile. A noter que ce test n’a pas été validé frigo veritas, par le Pr marqueurs biochimiques et biologiques comme l’albumine, la MNA ci-dessous. Les critères de dénutrition selon la HAS 2003 - perte de poids constatée ≥ 10 % du poids ;- perte de poids ≥ 5 % en 1 mois ou ≥ 10 % en 6 mois ;-IMC ≤ 20 kg/​m² ;-MNA-SF ≤ 11 Définition du MNA Spécifiquement conçu par Nestlé avec l’aide de gérontologues reconnus en 1994, le Mini Nutritional Assessment ou MNA a pour but d’apprécier les risques de dénutrition d’un individu âgé sans prélèvement biologique. Il s’agit d’un questionnaire simple pour retrouver ce questionnaire, rendez-vous sur le site www​.nutripro​.nestle​.fr, véritable tensiomètre de la dénutrition ». Le MNA est plébiscité par les professionnels de la gérontologie car ses avantages sont nombreux C’est un test simple et facile à utiliser aussi bien en ville qu’en institution ;Ses résultats permettent de prévenir et de traiter la malnutrition ;Ses coûts de mise en place sont faibles. Le déroulement du MNA Le MNA est organisé en deux temps 6 questions de dépistage des symptômes du patient appétit, poids, motricité,… puis scoring Plus de 12 pas de problème de nutrition, arrêter le de 12 continuer le test. 12 questions d’évaluation globale de la nutrition nombre et qualité des repas, autonomie dans la prise des repas… De 17 à 23,5 points risques de de 17 points mauvais état nutritionnel. A la suite de ce test de dépistage de la malnutrition, des pistes de réflexion peuvent être suivies pour l’analyse Les traitements médicaux suivis par le patient influencent-ils son mode d’alimentation ?Le patient connaît-il des difficultés dans la préparation ou l’obtention de ses repas ?Le moral du patient a‑t-il une influence sur sa prise de repas ?Le régime alimentaire du patient est-il équilibré ? Retrouverez le MNA aux pages 21, 22 et 23 du livret d’accompagnement destiné aux professionnels de santé du ​“Guide nutrition à partir de 55 ans” et du ​“Guide nutrition pour les aidants des personnes âgées.” Sources sur le MNA La restauration en EHPAD l’offre alimentaire L'offre alimentaire, les plans alimentaires, les grammages sont orchestrés par le groupe d'étude des marchés - restauration collective et nutrition GEM-RCN, qui remplace le GPEM-DA. Le décret no 2012-144 du 30 janvier 2012 est relatif à la qualité nutritionnelle des repas servis dans le cadre des services de restauration des établissements sociaux et texte et ses annexes précisent - quatre ou cinq plats seront proposés à chaque déjeuner ou dîner ;- le respect d’exigences en matière de taille des portions et de fréquence des repas ;- l’adaptation des plats proposés aux goûts et habitudes alimentaires des résidents ;- le respect d’exigences adaptées à l’âge ou au handicap des résidents ;- la définition de règles adaptées pour le service de l’eau, du pain, du sel et des sauces ;- le respect d’exigences minimales de variété des plats compétences d’une diétécienne seront très utiles pour décliner les plans alimentaires en menus attractifs selon les saisons, les régions, les préférences régimes stricts ne sont pas recommandés en Ehpad compte tenu des risques majeurs de dénutrition elle touche près d’un résident sur deux. Le service à table des compétences et savoir-faire indispensables La qualité du service est fondamentale pour l'appréciation d'un repas. Une même carotte rapée servie avec élégance et dans l'écoute est appréciée, la même sans un regard et dans la précipitation peut être purement et simplement rejetée. Le personnel hôtelier Formés aux techniques du service CAP, BEP, bac professionnel, école hôtelière…, les maîtres d’hôtel démontrent chaque jour que servir, organiser une salle, gérer des commandes… est un métier à part entière. Pourquoi ne serait-ce pas le cas dans ​“les restaurants” des établissements d’accueil pour personnes âgées, ou au domicile des personnes ?Mais le personnel ne peut être efficace sans une coordination intelligente entre les différentes activités la distribution des médicaments…, un système d’identification des besoins de chacun plan de table, chevalets, réunion rapide de quelque minutes avant le service sur les derniers évènements changement de régime, retour d’hospitalisation…, une vaisselle en quantité suffisante, un vaisselier pour un réassortiement rapide en cours de service…Il a besoin de participer à des échanges réguliers formations, ​“commission restauration”, animation… pour s’intégrer au mieux, adapter ses compétences aux besoins et attentes des résidents, en un mot, au projet d’ des grandes qualité de ce personnel est d’être à l’écoute pour permettre à chaque résident de trouver SA place, faire évoluer certaines recettes qui sont moins appréciées, déclencher de nouveaux thèmes d’animation réclamés… Des formations, réunions mensuelles, mais aussi chaque jour, quelques minutes avant le service, encouragements sont souvent nécessaires pour maintenir une qualité d’écoute et d’échange. Les horaires de service Adaptés à chaque établissement, aux attentes de certains résidents lève-tôt ou couche-tard, ils doivent respecter les rythmes qu’ont vécu les personnes dîner et petit-déjeuner très tôt en zone rural…, sans oublier de restreindre au maximum le jeûne de la nuit ne pas excéder 12 heures sans manger ni se désaltérer, tout en organisant les plannings des équipes dans le respect des 35 heures ! Un vrai casse-tête ! Le petit-déjeuner dès 7 heures 30, jusque 10 heures pour ceux qui aime traîner au lit ! Il est en majorité servi au lit, ou sur la table dans la chambre pour que le résident soit levé, changé si besoin, et donc mieux ​“réveillé” devant son café chaud ?, ou en salle à collation vers 10 heures, une boisson, un petit gâteau, servi en chambre, au salon, en salle à manger d’étage…Le déjeuner 12 heures, au ​“restaurant” principalement, ou aux ​“restaurants d’étages”, ou encore en goûter vers 15 heures 30, 16 heures. Il peut être l’occasion de fêtes, anniversaires… Il est servi au salon, au ​“restaurant”, en étage, dans les dîner 18 heures 30, 19 heures. Le ​“restaurant ” principal est souvent délaissé pour les petites salle à manger d’étage, ou la collation du soir, nocturne toujours disponible quel que soit l’horaire. Elle peut être centralisée dans un espace type ​“noctambule” ou ​“bar de nuit” et emmenée en chambre si besoin. Au-delà des horaires de début de repas, il ne faut pas négliger le temps du repas, qui doit au moins être de 45 minutes, au déjeuner comme au dîner. Ce temps doit permettre de déguster simplement l’ensemble des mets — entrée, plat principal, fromage, dessert, café ou tisane — sans précipitation, dans le calme, autour d’un service de qualité débarrassage à l’assiette…. Service à l’assiette, en plat, en desserte chariots de distribution… Service à l’assiettePour les entrées, cette solution est la plus évidente. Pour le reste de la prestation, elle permet certe une décoration suivie par le chef en cuisine, mais doit permettre le maintien au chaud de la prestation jolies cloches hôtelières et une personnalisation maximale prise de commande au dernier moment.Service en platsIl a l’avantage de maintenir une convivialité et une certaine forme d’autonomie on se peut se servir soi-même, mais il peut facilement déraper qualitativement, provoquer des brûlures, et certains plats ont du mal à être appétissant servis en collectif sautés….Service en chariotIl permet de présenter à l’oeil, à l’ouïe, à l’odorat, les prestations concoctées par le chef. Celui-ci, au lieu de dresser ses assiettes en cuisine, se déplace au ​“restaurant” pour participer concrètement au service, parmi les résidents. Les résidents discutent de la recette, échangent, dosent leur quantité, réclament ​“encore un peu”.Ce type de service ne s’improvise pas. Il faut être formé au contact avec les résidents, connaître les gestes techniques de service pelles, pinces, décoration d’assiettes pour valoriser la prestation, organiser sa production pour maintenir un choix minimum tout au long de chariot doit être sûr maintien en température, maniable, silencieux, ergonomique facilité d’entretien…. Enfin il faut que les locaux s’y prêtent et que l’espace entre les tables permette son passage. Sinon il reste immobile et ne permet pas à tous les résidents de découvrir, d’avoir sous les yeux ​“ce que le chef a préparé pour eux aujourd’hui”. Service en étage, en chambre Souvent parent pauvre de la prestation, il est pourtant très important car il concerne les résidents les plus dépendants, souvent affaiblis physiquement en cantou…. Il doit donc être particulièrement soigné présentation des tables, décoration des assiettes, garantir des plats à bonne température, permettre l’écoute, les échanges. Les plateaux en chambre ne doivent pas être négligés prise de commande des choix, maniabilité et ergonomie pour le service, chaleur du plat principal, du potage, jolie vaisselle, présentation appétissante… Charte ​“Mieux manger, moins jeter” Dans la droite ligne de la recherche action Add'Age action développement durable au service du grand âge, la charte "Mieux manger, moins jeter" veut aider à limiter les déchets alimentaire et lutter contre la dénutrition. Le site de l’Anap Agence nationale d’appui à la performance présente le témoignage du directeur de l’Ehpad Maison Saint-Joseph à Jasseron. L’établissement est passé en 6 mois de 300 g par jour et par personne de déchets alimentaires à 60 g. Les économies générées permettent de financer des projets porteurs de sens et notamment sur les enjeux du développement Sapy, directeur de la Fnaqpa qui pilote cette recherche action soutenue par la CNSA et l’Agirc-Arrco, a extrapolé ces gaspillages alimentaires, et estime que les enjeux s’élèvent à 2 milliards d’euros pour l’ensemble des Ehpad en la charte Mieux Manger, Moins jeter en Ehpad.
chariot de distribution des repas en ehpad