Sonindemnité de départ sera calculée sur la base du salaire suivant : (1.000 euros x 2/13) + (2.000 x 11/13) soit 1.846,14 euros. Soit pour ½ mois (moins de 15 ans d’ancienneté), 923,07 euros. Le
PRATIQUE- Comme les autres travailleurs, les fonctionnaires cotisent pour financer leur retraite. Mais le calcul et le montant de celle-ci diffèrent de ceux des salariés du privé.
Uneindemnité de mise à la retraite d'un montant de 6 000 euros est versée à un salarié. Le montant de sa rémunération annuelle lors de l'année précédant la mise à la retraite s'élève à 23 000 euros. 1er cas : La convention collective dispose que le montant de l'indemnité de mise à la retraite s'élève à 7 000 euros.
Cettecompensation sera définitive, même en cas de départ du salarié avant sa retraite. 2. Pour les salariés qui partiront en 2017 et 2018, une allocation supplémentaire, versée une seule fois au moment du départ en retraite, qui se cumule à l’allocation exceptionnelle de départ. 3.
Suppressionde 2.400 postes annoncée fin janvier. Le PDG de Carrefour, Alexandre Bompard, avait annoncé fin janvier la suppression de 2.400 postes dans les sièges, via un plan de départs
Aujourdhui, c'est une journée pas comme les autres, l'équipe de direction ainsi que tous les collaborateurs, avons fait un "standing ovation" pour le Carrefour Charleville-Mézières - DÉPART EN RETRAITE 🥳 Martine de Carrefour Banque
dIwe. Paris AFP - L'ancien PDG de Carrefour Georges Plassat a renoncé samedi à son indemnité de départ, sous la pression du gouvernement qui avait jugé sa rémunération "choquante" compte-tenu des déboires du groupe de distribution. Il a "décidé de renoncer à l'application de la clause de non concurrence qui lui avait été octroyée et donc au versement de l'indemnité de départ correspondante", a annoncé Carrefour dans un bref communiqué. La somme correspond à près de 4 millions d' suite après la publicité L'ancien dirigeant a pris cette décision "en raison de l'incompréhension qui entoure les conditions financières de son départ", explique Carrefour. Les actionnaires du groupe avaient approuvé vendredi à 68% l'octroi à Georges Plassat d'une rémunération de 13,17 millions d'euros en 2017. Cette somme comportait une indemnité de départ sous la forme d'un engagement de non-concurrence. Cette clause devait en théorie assurer que Georges Plassat ne devienne pas dirigeant d'un groupe concurrent de Carrefour, un cas de figure pourtant peu probable compte tenu de son âge 68 ans lors de son départ et de ses problèmes de suite après la publicité Cet énorme chèque avait suscité la colère des syndicats du groupe, en pleine restructuration, la CFDT dénonçant une somme "dépourvue de toute exemplarité" et "déconnectée" des résultats du distributeur. "Que l'échec soit récompensé par des rémunérations très élevées, c'est incompréhensible et choquant", a aussi jugé samedi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, dans un entretien à l'AFP, avant l'annonce de M. Plassat. Carrefour est en effet engagé dans un sévère plan de restructuration sous la direction du nouveau PDG Alexandre Bompard, avec des milliers de suppressions d'emplois annoncées en janvier. Les magasins avaient été touchés par un mouvement de grève exceptionnel fin mars. "Les anciens dirigeants de Carrefour ont laissé une situation très dégradée, cette situation a amené la nouvelle direction à prendre des mesures de restructuration qui vont se traduire par des pertes d'emplois et des fermetures de magasins. On ne peut sanctionner cet échec par des rémunération élevées et une telle prime de départ", a estimé le Bruno Le suite après la publicité - "Mesures fortes" - Mais au-delà du cas de M. Plassat, le ministre a sommé le patronat dans son ensemble d'agir pour éviter de tels cas de figure en renforçant le code Afep-Medef. Ce code élaboré par l'Association française des entreprises privées Afep, qui regroupe les plus grands groupes français, et le Medef, est une sorte de code de bonne conduite. Il avait déjà été renforcé fin 2016 sous la pression du gouvernement après la polémique née de l'"affaire Renault" liée à la rémunération du PDG Carlos Ghosn. "L'Afep et le Medef doivent prendre des mesures fortes pour renforcer le suivi et l'application par ses membres du code Afep-Medef", a demandé Bruno Le suite après la publicité Ces deux organisations patronales "avaient assuré l'Etat français que ce code de conduite serait suffisant" et "nous serons très vigilants sur les décisions que prendront l'Afep et le Medef pour renforcer leur code de conduite et renforcer l'effectivité de ce code de conduite", a-t-il insisté. Il en va de leur "crédibilité". Le Haut Comité de gouvernement d'entreprise HCGE, chargé d'examiner l'application du code, avait sommé vendredi Carrefour de s'expliquer sur la détermination de la rémunération de ses dirigeants. L'Afep et le Medef - qui est en pleine campagne interne pour trouver un futur successeur à son président Pierre Gattaz - ont estimé samedi que le HCGE a "démontré l'efficacité et l'indépendance de la régulation du code de gouvernement d'entreprise". Les deux organisations indiquent qu'elles "publieront une version renforcée du code de gouvernement d'entreprise dans les prochains jours" et que "celle-ci intégrera des recommandations de nature à éviter les écarts constatés récemment". Chez Carrefour, le patron Alexandre Bompard a annoncé qu'il ferait des propositions pour que sa propre indemnité de départ, versée au terme de son mandat, qui court jusqu'au 31 décembre 2020, ne "fasse plus débat".
La question se pose depuis le début du confinement. Et le ministre de l’Economie a rajouté une pièce dans la machine en incitant les entreprises, la semaine dernière, à verser une prime aux salariés qui continuent de travailler – la prime Macron » repackagée – et qui sont pour certains très exposés, comme les hôtesses de 860 morts en France, près de 20 000 cas confirmésDimanche dernier, plusieurs grandes enseignes de la distribution ont annoncé leur décision de verser une prime de 1 000 euros aux salariés mobilisés sur leur lieu de travail pendant la crise sanitaire du suite après la publicitéDernière en date à l’avoir annoncé Carrefour. Interviewé sur France 2 dimanche soir, Alexandre Bompard, le PDG du géant de la distribution, a annoncé le déblocage d’une telle prime pour ses équipes en France. J’ai pris la décision [dimanche] … d’octroyer à toutes les équipes qui sont sur le terrain, magasin, entrepôts, drives, une prime de 1 000 euros net qui leur sera versée en signe de notre reconnaissance pour l’extraordinaire engagement qui est le leur en ce moment ». personnes pourront en tôt dans la journée, Auchan, Kingfisher la maison-mère de Castorama ou encore Intermarché ont successivement révélé qu’ils verseraient cette prime, au moment où les salariés de la distribution se retrouvent en première ligne du maintien de la chaîne logistique et en particulier alimentaire, en plein confinement général de la population. Lundi, c’était au tour de la coopérative Système U et du distributeur Lidl, qui a ajouté 600 euros à la prime Macron de 400 euros versée en février dernier. Chez Auchan, 65 000 salariés concernés L’ensemble des collaborateurs des magasins, entrepôts, drives, services de livraison à domicile et site de e-commerce » se verront verser cette prime forfaitaire, a indiqué Auchan dans un communiqué, précisant que 65 000 salariés français étaient concernés. Je dois protéger mes salariés et mes clients. » Journal d’une boulangerie face au coronavirusKingfisher Castorama et Brico Dépôt va également verser une prime aux employés mobilisés dans le cadre du service de retrait de commandes en magasins et dépôts qui sera mis en place à compter de ce lundi, en complément du service de livraison à domicile qui a continué de fonctionner depuis le début de la crise, a révélé le groupe dans un autre communiqué. La suite après la publicitéLes deux groupes ont précisé que cette prime serait versée dans le cadre des conditions énoncées vendredi par le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, c’est-à -dire celui de l’accord d’intéressement de l’ groupement Les Mousquetaires Intermarché a pour sa part indiqué dans un communiqué avoir posé le principe d’une rétribution annuelle exceptionnelle de 1 000 euros, dont les modalités seront discutées avec les partenaires sociaux » ce prime Macron » repackagéeVendredi, Bruno Le Maire avait appelé les entreprises à verser une prime défiscalisée à leurs salariés, notamment à ceux qui ont eu le courage de se rendre sur leur lieu de travail » dans le contexte de l’épidémie de nouveau possibilité de prime, créée à la suite de la crise des gilets jaunes », a été reconduite en 2020 mais uniquement pour les entreprises ayant conclu un accord d’intéressement avec leurs salariés. La signature de ce type d’accord a été simplifiée pour encourager les PME. Le ministre a rappelé que les entreprises avaient jusqu’au 30 juin pour verser cette prime défiscalisée jusqu’à 1 000 euros et sur laquelle ne pèsent pas de charges suite après la publicitéQuid des PME et TPE ?Pour l’instant, la prime est donc versée sur la base du volontariat et au micro de France Info ce lundi 23 mars, le patron des patrons Geoffroy Roux de Bezieux s’est prononcé contre une obligation de la prime pour ne pas fragiliser la santé économique des entreprises, déjà malmenée par la semaine de panique au village des libraires La difficulté pour les entreprises aujourd’hui, c’est que la très grande majorité d’entre elles ont perdu énormément de chiffre d’affaires et ont des problèmes de liquidités, de trésorerie » a assuré le patron du Medef, qui incite les entreprises qui peuvent le faire et qui ont les moyens financiers » à verser une prime aux salariés. Surtout, je dis à l’État qu’il faut réfléchir collectivement pour savoir comment on peut faire pour, à l’issue de cette crise, récompenser ceux qui ont été au front ».
De quels frais de gestion parle-t-on exactement ? Entendons-nous bien, il s’agit de comparer les frais de gestion appliqués par les contrats d’assurance-vie sur les encours en unités de compte. Il ne s’agit donc pas de comparer les frais de gestion internes aux unités de compte ETF vs fonds classiques et autres. Si ce dernier point a son utilité, ce n’est pas l’objet de cet article. Avant de mettre la charrue, il faut amener les bœufs. La nouvelle réglementation concernant la présentation standardisée des frais en assurance-vie, partant d’une bonne volonté de transparence, pousse un peu plus les épargnants dans le brouillard des frais. Ces mêmes unités de compte par exemple un ETF donné peut être investi via différents contrats d’assurance-vie, appliquant des frais de gestion distincts au niveau du contrat. Les frais de gestion internes au fonds ETF sont invariants quel que soit le contrat. Le premier niveau de frais de gestion a étudier est donc bien celui des contrats d’assurance-vie, et non pas celui des frais internes des fonds. Frais de gestion des unités de compte à 0% Vous l’ignoriez encore ? Et pourtant cela existe ! Un contrat d’assurance-vie sans frais sur les versements et sans frais de gestion ! C’est le nouvel assureur CORUM LIFE qui le propose. Certes, ce contrat est particulier car il ne propose que 7 unités de compte, dont les 3 SCPI CORUM. Il ne convient pas à tous les épargnants, puisqu’il faut nécessairement s’exposer aux risques financiers afin de placer sur ce contrat SCPI et fonds obligataires, mais il a au moins le mérite d’exister. Frais de gestion des unités de compte à De façon plus générale, les frais de gestion portant sur les unités de compte les plus bas du marché sont au niveau de Et à ce niveau, l’offre de contrats d’assurance-vie est déjà conséquente.
Dans le secteur privé un salarié qui quitte volontairement son entreprise afin de bénéficier d’une pension de vieillesse doit bénéficier d’une indemnité de départ à la retraite article L. 1237-9 du Code du travail versée par l’employeur. Le taux de l’indemnité varie en fonction de l’ancienneté du salarié dans son entreprise dans les conditions du Code du travail art. D. 1237-1. Cette pratique n’a pas de fondement légal dans le secteur public. Pourtant de nombreuses collectivités territoriales versent des primes très modestes aux agents lors de leur départ en retraite. Aucun texte législatif ou réglementaire n’institue une indemnité de départ à la retraite dans la fonction publique Les fonctionnaires territoriaux ont droit, après service fait, à une rémunération comprenant le traitement, l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement ainsi que les indemnités instituées par un texte législatif ou réglementaire en vertu de l’article 20 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires et de l’article 87 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984. Aucun texte législatif ou réglementaire n’institue une indemnité de départ à la retraite dans la fonction publique. S’agissant des politiques indemnitaires, seules les modalités de leur mise en œuvre figurent parmi les domaines sur lesquels peut porter un accord au titre de la négociation collective dans la fonction publique en vertu des articles 8 bis et 8 ter de la loi du 13 juillet 1983 précitée. Il est désormais important de pouvoir octroyer aux agents territoriaux une indemnité de départ en retraite Les employeurs territoriaux disposent néanmoins de la possibilité de valoriser la valeur professionnelle, l’investissement personnel ou la contribution au collectif de travail d’un agent proche de l’âge de départ à la retraite dans le cadre du complément indemnitaire annuel constituant la seconde part du régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel RIFSEEP. Au vu de la faiblesse des rémunérations octroyées aux fonctionnaires territoriaux, qui se traduit par des retraites largement inférieures à celles pratiquées dans les autres versants de la fonction publique, il est désormais important de pouvoir octroyer aux agents territoriaux une indemnité de départ en retraite à l’image de ce qui existe pour le secteur privé. Elle pourrait faire l’objet d’un accord négocié dans le cadre de l’article 8 bis de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983. Texte de référence Question n° 38145 de M. Régis Juanico Socialistes et apparentés – Loire du 13 avril 2021, Réponse publiée au JOAN le 8 juin 2021
C'est pour le moins un télescopage fâcheux. Alors que le groupe Carrefour a récemment annoncé la fermeture de 243 magasins ex-Dia, qui touche quelque 1800 salariés, la rémunération versée à l'ancien PDG de Carrefour, Georges Plassat, remplacé mi-2017 par Alexandre Bompard, fait des vagues. Aberrant », ce monde est devenu fou », prime à la médiocrité »… sur Twitter, les commentaires acerbes sont total aux salariés de carrefour et syndicats. Honteux que l'ex PDG perçoivent 17 millions d'euros + 517 000 euros de retraite annuelle alors que 4300 salariés vont être licenciés en raison de ses erreurs. Interdisons les licenciements boursiers ! Alexis Corbière alexiscorbiere June 15, 2018 Dans ce contexte, l'assemblée générale qui s'est tenue vendredi matin a sans surprise été tendue. 150 militants de la CGT étaient massés devant l'entrée, à Aubervilliers Seine-Saint-Denis. Dans la salle, quelque 100 actionnaires adhérents de la CFDT étaient vendredi. 150 militants de la CGT étaient massés devant la salle où se tenait la première Demarthon LP/Olivier BoitetLa rémunération de 13,17 M€ versées à Georges Plassat, surtout, ne passe pas. Il gagne en une demi-journée le salaire annuel moyen de ses employés », résume un internaute en colère. Chez Carrefour, on a beau préciser que cette rémunération versée en une fois, ne concerne pas que l'année 2017, le millefeuille de ses émoluments heurte quand des investisseurs sont remontésJugez plutôt un plan de rémunération à long terme de 6,5 M€, plus une rémunération fixe de 818 000€, sans oublier une rémunération variable de 1,9M€, des jetons de présence, et une clause de non-concurrence de près de 4 M€. A ces sommes, il faut ajouter une retraite annuelle de 517 000 € par an. On marche sur la tête », fustige Philippe Allard, de la CGT. C'est un très mauvais signal envoyé aux salariés, dont on aura besoin pour transformer l'entreprise », abonde Sylvain Mace, son homologue de la matin, en AG, les résolutions sur les éléments de rémunération ont été votées, mais avec un faible score. Fait atypique, si la grogne des salariés est forte, les investisseurs ne sont pas en reste. La société de gestion Philtrust, spécialisée dans l'engagement actionnarial, estime ainsi, par la voix de son directeur général délégué, Denis Branche que ces niveaux de rémunération sont indécents ». La prime de non-concurrence, surtout, ne serait en fait qu'une indemnité de départ déguisée NDLR Georges Plassat va avoir 69 ans, le code de déontologie Afep-Medef n'est donc pas respecté », veut que ses indemnités de départ ne fassent pas débat »Sollicité, le secrétaire général du Haut Comité du gouvernement d'entreprise, Jean-Philippe Roulet, chargé de faire respecter ce code de bonne conduite, nous confirme que le Haut comité a envoyé par courrier ses observations quant à l'application du code » au groupe ce qui est de l'avenir, le patron de Philtrust émet des inquiétudes la société est dans un piètre état », juge Denis Branche, pour qui Alexandre Bompard aurait dû proposer une baisse de sa rémunération ».De son côté, le Haut comité du gouvernement d'entreprise regardera si les choses évoluent dans le bon sens. A défaut, nous n'excluons pas de faire un name and shame * » dans notre prochain rapport annuel ». Alexandre Bompard, lui, a précisé vendredi lors de l'AG qu'il ferait des propositions au conseil d'administration de Carrefour afin que ses indemnités de départ ne fassent pas débat ».* Nommer et faire honte
prime de depart en retraite chez carrefour